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Le
désir
mimétique
:
notre
atout

Notre cerveau est ainsi fait que, dès la première seconde de notre vie, nous imitons les autres et, sans le savoir, copions nos désirs sur les leurs. Les envies d'autrui éveillent les nôtres. Neuropsychiatre et psychologue, Jean-Michel Oughourlian a été l'un des premiers à explorer la spirale mimétique qui nous domine. Dans son dernier livre, il nous aide à comprendre le fonctionnement de notre cerveau pour nous en libérer. Extrait.
Le désir mimétique : notre atout
Le désir est notre bien le plus précieux. En psychologie, il équivaut à ce qu'est le mouvement pour le corps : sans désirs, nous sommes inanimés, mentalement inertes. D'un point de vue clinique, cette absence de désirs est l'un des symptômes de la dépression - mais aussi de bien d'autres pathologies lourdes qui font le quotidien du psychiatre. Nous n’avons « plus goût à la vie », comme on le dit. Et pour nous rendre ce « goût », nos proches vont spontanément nous proposer des objets à désirer : « Une sortie entre amis, un voyage, une séance de cinéma, tu n'en as pas envie?»

Le mimétisme, lui, est un mouvement spontané qui 'établit entre deux êtres humains - et qui concerne aussi un certain nombre d'espèces animales. On commence à imiter dès l'instant de notre naissance et on continue à le faire tout au long de notre vie. Andrew Meltzoff, patron de l'Institute for Leaming and Brain Sciences de l'université de Washington, a réalisé une expérience étonnante. Pendant plusieurs années, Meltzoff s'est rendu dans une maternité (avec l'accord des mamans) et, juste après l'accouchement, il plaçait son visage en face de celui des nouveau-nés et... leur tirait la langue. Les bébés l'imitaient et lui tiraient la langue à leur tour, de manière instinctive - du moins ceux qui le voyaient, beaucoup de nourrissons n'acquérant la vision qu'au bout de quelques heures. Et si ce soir je vais aller au cinéma, c'est aussi par mimétisme, pour voir ce film que mon ami a déjà vu et qu'il me recommande. Ces deux exemples, parmi tant d'autres, montrent que sans le mimétisme qui nous guide en permanence, il nous serait impossible de nous constituer, de devenir ce que nous sommes. Il nous façonne tout au long de notre vie, il nous fonde dans notre être et crée notre moi, un moi qui n'est jamais donné mais qui continue de se construire jusqu'à notre dernier souffle.

Entre désir et mimétisme, le lien est très étroit. En fait, le désir est d'abord mimétique : je désire ce que l'autre possède et ce qu'il désire - voir ce film, goûter ce mets, obtenir ce diplôme, cette maison, cette fonction. Le dixième commandement biblique le pressentait : la femme du voisin, l'âne (qui serait aujourd'hui une voiture) du voisin, son jardin ou son emploi nous apparaissent toujours plus séduisants et de meilleure qualité que les nôtres. Voilà une réalité qui transcende les cultures et les époques...

Ainsi, je peux boire parce que j'ai soif, mais j'ai égale­ ment envie d'un verre d'eau quand je vous vois boire et je me sers alors à mon tour. Lors d'un repas, quand l'un des convives se sert du vin, les autres lui emboîtent aussitôt le pas : il a réveillé leur envie, leur désir. Dans un café, quand j'hésite sur ma commande et que j'entends un consommateur demander un citron pressé, je dis au serveur : « moi aussi. » Il nous arrive bien souvent, dans notre vie quotidienne, de dire « moi aussi» - de calquer notre désir sur celui de l'autre, c'est-à-dire de l'imiter. C'est une facilité : dans ce cas, je n'ai pas à réfléchir, à choisir, j'imite en prenant l'autre comme modèle. On voit bien, et c'est un élément fondamental pour ce qui va suivre, que le désir est mouvement: il a besoin d'une énergie (qui le fait avancer, ici l'envie de boire) et d'une finalité (vers laquelle il va se diriger, ici le verre de vin ou le citron pressé).

Entre désir et mimétisme, le lien est très étroit.

Mais le désir mimétique entraîne aussi, et très souvent, la rivalité. Voici Jean qui joue au square avec son ballon rouge. Il n'a pas d'autres jouets, et il se satisfait de celui­ là. Arrive Paul escorté par son père qui déballe ses jouets : un ballon vert, un seau, des pelles et même une petite voiture électrique. Le ballon de Jean atterrit près de Paul. Jean vient le récupérer mais Paul ne le lui rend pas : il veut ce ballon avec lequel Jean semble tellement s’amuser. Le père de Paul lui tend son ballon vert, mais il n'intéresse pas Paul, qui commence à pleurer. Son désir mimétique le pousse à désirer le ballon de Jean, et aucun autre. En réalité, le désir a besoin de la rivalité pour exister et de l'interdit pour se renforcer. Paul n’aurait pas voulu du ballon rouge et n'aurait pas pleuré pour l'avoir s'il n'avait pas appartenu à Jean! Désir et rivalité sont coextensifs l'un de l'autre et inséparables, comme les deux faces d'une pièce de monnaie.

Le désir mimétique est en nous une sorte de mouvement de fond qui ne porte pas seulement sur des objets mais qui se décline en permanence dans notre quotidien et qui nous permet d'être. Je l'ai schématiquement catégorisé en quatre démarches qui ne sont pas consécutives, mais qui interviennent simultanément et nous modifient à chaque instant de notre existence. Répétons-le : nous imitons tout et tout le temps...


Imiter le paraître


La démarche mimétique la plus primitive porte sur les gestes, les sons, le langage, le paraître d'une manière générale. Sans elle, il n'y aurait aucun apprentissage, aucune entrée dans la vie, aucune relation humaine ne pourrait s'établir. Le bébé commence à babiller en répétant les sons qu'il entend, de mieux en mieux, jusqu'à les restituer parfaitement. Comment voulez-vous lui apprendre à parler autrement qu'en parlant devant lui et en articulant les mots jusqu'à ce qu'il les répète lui­ même, en vous imitant? L'enfant apprend de la même manière à écrire, en recopiant les «o», les «a» et les autres caractères de l'alphabet, c'est-à-dire en imitant, là aussi de mieux en mieux, le geste qui permet de les reproduire. Nous avons tous tracé nos premières lettres qui ne ressemblaient à rien, et nous avons persévéré, à force de répétition, jusqu'à apprendre à bien lire et écrire. « Copie », « Fais comme moi » sont des expressions que les éducateurs utilisent en permanence, et ils ont bien raison !

Nous imitons tout et tout le temps

Ce qui est vrai chez l'enfant l'est aussi chez l'adulte. L'homme des cavernes qui a vu son voisin faire surgir du feu en frottant des silex s'est à son tour emparé de deux pierres et a imité le geste pour apprendre. C'est ainsi que l'art du feu s'est propagé, permettant à l'Homo de devenir sapiens. J'ai vu mon ami s'offrir des chaussures particulièrement confortables pour la marche, je vais l'imiter et acheter les mêmes. Et quand ma collègue s'est coupé les cheveux, ce qui l'a rendue ravissante, j'ai été à mon tour chez le coiffeur. Nous pourrions tous multiplier ce type d'exemples, rien qu'en examinant notre journée à cette aune.

Les humains n'ont pas le privilège de l'imitation du paraître. En observant leurs compagnons, les singes apprennent à casser des noix ou à trouver de l'eau dans les roseaux, et les ours à dévaliser les ruches du miel dont ils sont friands. Dans ses Essais, Montaigne rapporte l'histoire des singes que le roi Alexandre et ses soldats rencontrèrent dans une forêt en Inde. Les singes se préparèrent à les attaquer, et la troupe d'Alexandre savait qu'il lui serait difficile d'en venir à bout. La meilleure arme du roi, raconte Montaigne, fut le désir mimétique : ses hommes se garrottèrent avec des cordes; les singes les imitèrent aussitôt et, en attendant qu'ils parviennent à se dénouer, ce qui est plus difficile pour un singe que pour un homme, Alexandre put contourner ce danger.


Imiter l'avoir


Une deuxième démarche concerne l'avoir : un singe a une noix de coco, son voisin va désirer cette noix en particulier et essayer de la lui prendre, comme Paul avec le ballon rouge de Jean. Ce qui est au départ une sorte de jeu peut rapidement prendre une forme plus agressive et déclencher une rivalité entre les deux singes (ou entre des humains, enfants ou adultes): ils se battront pour cette noix (ou ce ballon, ou ce poste prestigieux), même s'ils sont sous un cocotier chargé de fruits (ou au milieu de masses de jouets ou de promotions possibles).

C'est cette différence que je désire m'approprier

Comme toutes les autres démarches d'imitation, celle­ là est très précoce chez l'humain. Avant même de savoir marcher et parler, le bébé tend naturellement la main vers l'objet que vous tenez pour s'en saisir et prendre votre avoir, pour qu'il devienne donc le sien. Andrew Meltzoff a tenté une expérience avec cinq enfants qu'il a fait entrer dans une pièce vide où étaient posés cinq paquets cadeaux, absolument identiques les uns aux autres. Chaque enfant pouvait prendre un paquet, sans l'ouvrir - donc sans savoir ce qu'il renfermait. Au bout de quelques minutes, bagarre générale : chacun voulait le paquet de l'autre! C'est que le paquet de Paul (ou sa femme, ou le bureau qui lui a été attribué dans les locaux de son entreprise), pourtant identique au mien, a une suprême valeur ajoutée : il appartient à Paul et ne m'appartient pas. Et c'est cette différence que je désire m'approprier, pour imiter Paul. Ce processus, source de rivalités parfois intenses, sur lesquelles nous nous focalisons au détriment de notre bien-être le plus élémentaire, nous accompagne toute notre vie en se complexifiant - René Girard parlait à juste titre des « entrechats du désir mimétique », dont la danse nous fascine et dont il est difficile d'isoler les mouvements.


Imiter l'être


Une troisième démarche du processus d'imitation porte, au-delà de l'objet possédé, sur l'être même du modèle. Elle est l'un des piliers de la constitution du moi. Depuis Freud, les psychologues donnent à cette démarche le nom de « processus d'identification » : je m'identifie à mon père, à mon professeur, à mon héros - je les prends donc pour modèles -, et cette identification est un phénomène normal, quasi physiologique, d'évitement des conflits. Ainsi, le garçon qui s'identifie à son père n'a plus besoin de lui prendre véritablement sa mère, puis­ qu'il « est » son père : il se comporte « comme si», il l'imite. Son père cesse d'être le rival, il est le modèle à copier, celui dont on est fier. Dans une équipe de recherche, un milieu que je connais bien, les chercheurs s'identifient au patron, agissent comme ils supposent qu’il agirait, pensent comme ils estiment qu'il penserait. Ceux-là n'ont pas besoin de le critiquer : ils « sont » le patron par mimétisme et tirent fierté de ses réussites, par exemple d'un prix qu'il reçoit; ils n'ont pas besoin de prendre son avoir, son prix, son poste puisqu'ils sont, en quelque sorte, ce patron dans lequel ils se projettent. C'est ce que l'on appelle couramment « l'esprit d'équipe ». Et quand nos adolescentes s'entichent de jeans déchirés ou de maquillage outrancier, c'est pour imiter leur modèle, Britney Spears ou Lady Gaga, auxquelles elles s'identifient- avant de se choisir d'autres modèles dans la vie...

La rivalité ne peut se dissoudre que dans l'identification

Quand le processus d'identification échoue, la situation se renverse : le patron, le père ou le supérieur n'est plus le modèle à imiter, il devient critiquable, on lui trouve des failles, des défauts. Comme il cesse de nous fasciner, on s'autorise à entrer en rivalité avec lui, à désirer et revendiquer ce qu'il possède, à vouloir devenir réellement lui, et on cherche, du coup, à l'éliminer. Voilà comment on peut prendre la femme de l'ami (ou le mari de l'amie), revendiquer la position de chef de bande à la place du chef. La situation du modèle dont on a imité l'être mais qui devient à un moment donné le rival se vérifie dans tous les univers professionnels et personnels, et nous l'avons tous vécue à des degrés divers, à un moment ou un autre de notre vie.
Dans ses sublimes Souvenirs de la maison des morts, un fragment d'autobiographie dont l'action se situe dans un bagne de Sibérie où il avait été condamné à quatre ans de travaux forcés, Dostoïevski en livre un exemple admirable.

Dans ce bagne, une baraque glaciale, les prisonniers portent tous des tenues identiques, des chaussures identiques, ils ont les mêmes lits, les mêmes écuelles, ils reçoivent les mêmes repas et ont tous droit, l'après­midi, à un thé venant de la même théière. Un philosophe, détenu pour le meurtre de son épouse, est l'objet de la hargne des autres bagnards. Il se confie à un autre détenu, un Polonais. « Ils ont l'air de m'envier le thé que je bois », s'étonne-t-il. Et le Polonais lui répond :« Votre thé n'y est pour rien. C'est à vous qu'ils en veulent. N'êtes-­vous pas gentilhomme? Vous ne leur ressemblez pas ». En d'autres termes, il y a impossibilité d'identification. Or la rivalité ne peut se dissoudre que dans l'identification. L'illusion consiste à croire que c'est la possession de tel objet qui confère au modèle ce supplément d'être qui nous fascine et que nous convoitons. Cet exemple prouve que la recherche de l'égalité absolue est une illusion car, lorsqu'on a supprimé toutes les différences au niveau de l'avoir, celles-ci se réfugient au niveau de l'être.


Imiter le désir


Une quatrième démarche concerne l'imitation du mouvement même du désir. C'est-à-dire que cette imitation porte non pas sur ce que l'autre possède déjà, mais sur ce qu'il souhaite posséder et qu'il ne possède pas encore. Je vais avoir envie de boire avant que vous ne portiez votre verre d'eau à vos lèvres, quand vous commencez à tendre la main vers la carafe : je sais déjà quelle est votre envie et elle suscite la mienne. Je ne vais pas attendre que vous ayez obtenu votre promotion ou votre augmentation pour en désirer une à mon tour : je vais imiter votre envie. Et si vous êtes candidat à une élection, ma tendance naturelle me poussera à dire : « Moi aussi » et à présenter ma candidature.

L'homme est le plus mimeur des animaux

C'est donc le mouvement lui-même qui est détecté par notre cerveau, comme s'il était en connexion avec les autres cerveaux, et il se met en mouvement pour réclamer : « Moi aussi ». J'agis en quelque sorte en reproduisant automatiquement l'activité du cerveau de l'autre que j'observe faisant une action ou manifestant un sentiment, une sensation ou une émotion. « Percevoir une action est équivalent à la simuler intérieurement », dit le neuroscientifique italien Vittorio Gallese en qualifiant ce mouvement de « simulation intégrée » ou « incorporée ». L'étape suivante est malheureusement, nous allons le voir plus loin, celle de la revendication de la primauté du désir, chacun affirmant qu'il était le premier sur les rangs alors qu'en réalité, c'est l'imitation qui a fait se mouvoir toute la chaîne.

La mimésis, ou désir mimétique, n'est ni un instinct ni une pulsion. Elle est bien plus que cela : c'est une loi générale qui gouverne l'espèce humaine - et de nombreuses espèces animales dont les individus s'imitent entre eux, quand ils n'imitent pas les humains s'ils vivent à leurs côtés. Cependant, « l'homme est le plus mimeur des animaux », comme l'écrit le Grec Aristote, au IVè siècle avant notre ère, dans le quatrième livre de sa Poétique. Théorie globale, la mimésis s'applique aussi bien à la psychologie individuelle qu'à celle des foules, et bien sûr à la psychopathologie qui fait partie de mon quotidien de psychiatre. C'est pourquoi je la considère comme une métapsychologie.

De fait, la mimésis est intrinsèque à notre humanité. Mais si nous avons du mal à l'admettre, c'est parce que le temps psychologique fonctionne à l'inverse de celui d'une horloge : notre moi finit toujours, et parfois très vite, par revendiquer la priorité et la propriété de son désir mimétique je n'ai imité personne, c'est moi qui ai désiré le premier, ce désir est le mien et ce sont les autres qui m'imitent). Toutes les figures de la psychologie individuelle ne sont que des façons de faire aboutir ces deux revendications : la priorité et la propriété du désir. C'est aussi ce qui explique que la psychologie mimé­ tique ait suscité de nombreux détracteurs : il est difficile d'accepter que notre désir ne soit pas original, mais copié sur celui d'un autre. Pourtant, et c'est ce que nous allons voir, cette psychologie-là a pu être corroborée par les avancées de l'imagerie médicale. Ainsi, la mimésis se lit dans notre cerveau.
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