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TCA
:
quand
la
nourriture
est
douleur

Très spectaculaires lorsqu’ils sont révélés, les troubles du comportement alimentaire sont complexes à cerner et encore plus à traiter. Dans une société où la « malbouffe » à foison côtoie une orthorexie émergente, que disent de nous ces personnes qui s’alimentent de manière pathologique, et comment les aider ?
TCA : quand la nourriture est douleur
Santé corps-esprit
Totalement opposés dans la manifestation de leurs symptômes, puisque pour certains, il s’agit de trop manger, et pour d’autres, de s’en passer, les troubles du comportement alimentaire – les TCA – sont regroupés sous le même sigle. Anorexie, boulimie, hyperphagie boulimique, pour les plus graves, mais il en existe d’autres, car ils sont pléthore à prendre des formes extrêmement originales. Ainsi, les plus connus sont l’anorexie – la grande difficulté à s’alimenter pouvant entraîner une dénutrition mortelle –, la boulimie – parfois associée au fait de se faire vomir, elle peut avoir pour conséquence une obésité à comorbidités –, et l’hyperphagie, très proche de la boulimie, mais sans comportement compensatoire.

Le trouble alimentaire est un symptôme complexe, présentant parfois des mécanismes obsessionnels envahissants, proches de ceux rencontrés dans l’addiction. Sauf que si l’on peut arrêter de boire de l’alcool, de fumer ou de prendre de la drogue, on ne peut pas cesser de s’alimenter. De plus, la nourriture est un fait culturel, familial, social qui en dit long sur nos liens et nos habitudes. En Occident, nous en avons très tôt fait une solution d’apaisement : lorsqu’un bébé pleure, on lui propose un biberon, ou encore on calme un enfant avec un bonbon. Ainsi s’élaborent les premiers rapports humains autour de la nutrition, comme le rappelle Cristina Cernat, psychologue à l’hôpital Delafontaine et responsable de TD à l’université Paris 7 : « La première relation humaine, c’est la mère qui nourrit, qui accompagne les repas d’autre chose, comme une berceuse, des paroles, des gestes. La première relation d’amour, les liens se font donc à travers la nourriture de la mère à l’enfant. »

Une grande partie de la psyché s’élaborant dans la petite enfance, c’est donc autour de ces rapports que les premières recherches sur les causes des TCA sont menées. Les dernières avancées montrent cependant que l’origine et surtout l’accompagnement se situent au-delà de la seule sphère familiale et révèlent qu'au contraire, celle-ci est fondatrice de la cure. En toile de fond cependant, les habitudes alimentaires de la société dans son ensemble continuent à faire écho.

Une grande partie de la psyché s’élaborant dans la petite enfance, c’est donc autour de ces rapports que les premières recherches sur les causes des TCA sont menées.


Les pistes d’éclaircissements psychologiques


La psychologue Cristina Cernat, qui accompagne de nombreux patients à l’hôpital, rappelle les fondamentaux : « Freud disait que le symptôme est la rencontre corps/psyché. Manger, c’est produire une réponse affective à une émotion. La bouche amène une confusion entre manger et parler, j’ouvre la bouche pour parler, mais à la place, je mange. Ou, au contraire, l’évitement : je n’ai pas besoin de l’objet, je n’ai pas besoin de la nourriture, de ce qui pourrait venir remplir cette bouche. » Cette première grille de lecture éclaire sur les TCA en tant que symptômes exprimant une souffrance qui peut survenir à n’importe quel âge de la vie, même s’ils sont plus connus à l’adolescence. Mais une réponse sous forme de trouble alimentaire peut aussi se produire suite à des événements de vie du type deuil, burn-out ou rupture ; on ne mange plus parce qu’on ne sait plus partager un repas. Une peur du vide qui peut engendrer un désir de remplissage extrême ou, au contraire, un besoin de contrôle qui se traduit par la privation. La psychanalyste Brigitte Dusch précise que « le trouble alimentaire, c’est remplir pour essayer d’apaiser sa douleur. C’est une réaction, un médicament. Les notions de faim, de gourmandise, de plaisir, tout ça va disparaître ; la personne qui mange n’apprécie plus les aliments. L’anorexie décrira plutôt “ça ne passe pas” ; en général, on se cache pour manger, ou pour vomir… parce qu’on veut sentir sa peau sur les os, on veut avoir le contrôle de soi. » Certains sujets souffrant de TCA peuvent aussi avoir été victimes d’un traumatisme dans l’enfance, une maltraitance provoquant une dissociation.

L’outil de la psychanalyse, très décrié lorsqu’il s’agit d’agir rapidement (et c’est le cas lorsque certains sujets sont en danger de mort suite à des TCA), offre quand même de multiples pistes de décryptage. Le psychanalyste Maurice Corcos aborde le sujet dans son ouvrage(1) : « Il y a un dysfonctionnement dans les processus de séparation-individuation et d’identification à l’adolescence qui sont dans une continuité des processus qui se sont joués lors des deux premières années de la vie », dans le rapport entre le bébé et sa mère, le sein nourricier qui se donne puis se retire, dans le geste de la mère qui, elle-même, s’offre ou ne s’offre pas. Pour peu que celle-ci ait aussi eu un rapport compliqué avec sa propre mère, un processus inconscient, dont personne n’est responsable, peut s’établir et exploser au moment de l’adolescence. Pourquoi à ce moment-là ? Parce que « les fonctions alimentaires sexuellement investies expriment une incapacité à assumer le rôle génital et les transformations corporelles propres à la puberté », analyse le spécialiste. Pour que l’enfant accepte de « grandir », il doit opérer une « défusion » d’avec la mère et il peut y avoir une « analogie du corps maternel sur lequel peuvent s’exercer des représailles dans une autopunition », le jeune tentant de « tuer » symboliquement l’union qu’il vit comme mortifère. Ces pistes explicatives, parfois remises en question par certains acteurs du terrain, ont le mérite de tenter de sonder les origines du problème.


Des solutions à plusieurs thérapeutiques


Lorsque la réponse psychosomatique nécessite une action en urgence, une prise en charge à l’hôpital est envisagée. La psychologue clinicienne Lucie Meurice rappelle que « sur le plan somatique, c’est-à-dire sur le plan de la santé, c’est prendre en charge ce corps qui souffre, qui a mal, que de le ramener à du réel ». C’est ce que va faire le corps médical, donner une impulsion pour sortir de la situation. Ce chemin thérapeutique peut fournir de bons résultats lorsque le traitement psychiatrique est abordé en multipartenariat, c’est-à-dire en considérant le problème dans sa globalité et en suivant plusieurs axes. Selon les moyens, et il faut avouer qu’ils diffèrent d’un hôpital à l’autre et ont tendance à se réduire, les thérapies seront approchées en même temps : la psychiatrie, qui peut prescrire des psychotropes, les psychothérapies individuelle ou familiale, la thérapie psychocorporelle, la diététique, la kiné, la psychomotricité, l’art-thérapie, la médecine générale, et parfois des ateliers en groupe. Plus les outils seront multiples, plus le patient trouvera son chemin d’autonomisation.

Pendant de nombreuses années, le creuset de la famille a été considéré comme le point d'origine du trouble, mais de nombreuses recherches, notamment à l’hôpital, ont orienté depuis vers d’autres pistes. En effet, les nouvelles études sur les TCA révèlent que celles-ci ont une origine multifactorielle qui n’est pas à chercher uniquement dans la structuration de la famille. Les modèles psychanalytiques étaient considérés comme très culpabilisants. Les modèles TCC (thérapies cognitives comportementales) permettent d’accéder à un niveau beaucoup moins culpabilisant de compréhension et de structuration de la relation avec les familles. On retrouve d’ailleurs les TCA dans tous les milieux socioculturels, mais aussi dans tous les types de familles fonctionnelles, dysfonctionnelles, un peu dysfonctionnelles… On ne dit plus que c’est la famille qui provoque le TCA, même si c’est en son cœur que le dispositif naît.

Les TCA en chiffres
Les TCA regroupent trois troubles principaux, chacun présentant des risques létaux :
• L’anorexie mentale touche 0,9 à 1,5 % des femmes et 0,2 à 0,3 % des hommes. La plupart du temps, elle est repérée entre 14 et 17 ans. 5 à 10 % en décèdent.
• La boulimie représente 1,5 % des 11-20 ans et on y retrouve 3 femmes pour 1 homme.
• L’hyperphagie boulimique concerne 3 à 5 % des adultes, car cette pathologie touche essentiellement les plus de 20 ans, autant hommes que femmes.
Sources : Inserm et HAS.


L’approche de la famille


Un enfant qui ne mange plus ou qui mange trop peut déclencher une réaction très forte chez ses parents. La nourriture est un fait culturel, particulièrement dans certains pays, où les repas sont affaire de famille, de rassemblement, d’identité. Les TCA concernent donc souvent plus que la personne qui en souffre. « Ce que j’ai observé, c’est que quand il y a un TCA chez un patient, dans 90 % des cas, on retrouve un trouble alimentaire dans la famille proche : la mère, le père ou la grand-mère… Je crois que c’est une maladie du lien, de la capacité à se mettre en intimité avec l’autre », explique Lucie Meurice, et c’est ce lien mis à mal qui va secouer toute la famille. Aujourd’hui, l’approche de la thérapie familiale est mise en avant avec de nouvelles directives. « Le curseur des recherches familiales s’est déplacé d’études du rôle étiologique de la famille, globalement peu concluantes, à des études du rôle de la famille dans le maintien et le devenir des TCA, ainsi qu’à des modèles plus systémiques de coévolution entre famille et TCA. Ces changements de ciblage donnent une vision plus fluide des processus à l’œuvre, dessinent une posture thérapeutique moins stigmatisante pour les familles », explique la docteure en psychologie clinique Solange Cook-Darzens dans son étude très approfondie, Apports de la recherche familiale dans les troubles du comportement alimentaire de l’enfant et de l’adolescent : acquis, défis et nouvelles perspectives (Cairn.info). Autrement dit, la famille sera prise en charge dans son ensemble, ce qui lui permet d’être aussi le creuset du soin. Elle peut ainsi accompagner au mieux celui qui est atteint de TCA tout en s’accompagnant elle-même.

Mais au-delà de la famille, dans laquelle se déroulent les repas, c’est parfois toute une culture qui est concernée. Le rapport à la nourriture n’est pas anodin. En politique, la grève de la faim a été un levier souvent utilisé ; historiquement, la faim rappelle les heures les plus sombres de l’histoire. Tout ceci n’est pas sans rappeler également les rapports de notre société avec la nourriture, qui se complexifient depuis l’après-guerre, entre les recommandations diététiques et les questionnements autour des pesticides, du bien-être animal… Tout en conservant une grande méfiance à l’égard de la nourriture industrielle, on se pose beaucoup de questions sur ce qu’il faut manger ou pas, dans une société qui est devenue très hygiéniste, très attachée au pouvoir sur le corps. Et si ces êtres hypersensibles souffrant de TCA étaient comme des avertisseurs de nos rapports complexes à la nourriture, à une échelle plus globale ?


Une ouverture spirituelle


L’auteur Jean-Philippe de Tonnac, qui a lui-même fait l’expérience de l’anorexie et enquêté sur le sujet, commente : « C’est tentant de dire que dans une société qui a renoncé à la question du sens, une des façons de répondre est de renoncer aux nourritures “insignifiantes”. On sait que nos assiettes ne nous nourrissent plus et nous apportent des maladies, et d’une façon générale, une “nourriture” – symbolique ou réelle – insignifiante apporte la maladie. » Le TCA en tant que symptôme sociétal apporterait une forme d’intensité en réaction à l’insignifiance. Le « j’ai faim d’autre chose » du héros de Kafka(2) qui jeûne devant une foule, ou le gavage du boulimique qui imite l’absurdité de notre surconsommation ?

De ce fait, lorsqu’il raconte sa traversée en anorexie, Jean-Philippe de Tonnac évoque un sentiment de surpuissance et une envie de transformation : « J’avais le sentiment que j’étais en train de me libérer de toutes les prisons : ce corps, cette famille, ma civilisation matérialiste que je n’aime pas… c’était une expérience mystique qui me procurait dans les premiers temps de l’expérience une joie sans égale », confie-t-il. Grâce à un ami, il découvre le zen et rencontre le moine bouddhiste Jacques Brosse qui le reçoit chez lui. « Il est resté en lotus complet pendant quatre heures, je voyais un autre corps, moi qui cherchais à aller dans un autre corps, échapper aux lois de ce corps de chair qui a toujours faim et qui va mourir… » L’inspiration sera totale. Jean-Philippe de Tonnac va pratiquer la méditation zen, se ramener d’une autre manière dans le corps, dans l’incarnation, et se remplumer doucement. L’écrivain explique également les bienfaits concrets de la méditation sur son mental : « Dans un moment où l’intérieur est tellement agité, où on est si seul, où il faut pouvoir supporter cet esprit qui cherche la solution, qui nous culpabilise, qui est le persécuteur, la méditation suspend la persécution intérieure. On peut commencer à respirer. »

Un voyage en Inde confirmera sa rémission, la rencontre des yogis indiens, aussi maigres que lui, mais pour d’autres raisons, sera aussi décisive. « Il y a vraiment ce sentiment d’une dignité perdue par l’incarnation. Cette “simple” incarnation… je rencontre des hommes qui ont des corps comme je pensais l’avoir. Ils sont capables de ne pas manger, mais je me rends compte qu’ils ont besoin de leur corps dans l’expérience humaine qui est la leur. L’Occident est incapable d’expliquer à quelqu’un qui est en difficulté avec son corps qu’il peut être un grand allié, et pas ce fardeau puant et dégoûtant… on n’a pas envie de l’entretenir, il nous mène à quoi ? Au cercueil… Alors qu’il y a un corps d’éternité qui est là… », se souvient l’auteur. Dans la tentation de transcender le corps avant l’heure, la recherche d’un « autre corps », corps d’énergie, corps du souffle, peut offrir non pas une issue, mais une tentative signifiante pour revenir dans le corps. Puisque le corps est le principe de l’incarnation, le relier au subtil par des pratiques ou des exercices peut donner d’un seul coup tout son sens à notre présence ici-bas.

Les pistes « génétiques »
Bien que prises très prudemment en considération par la sphère des thérapeutes, quelques études scientifiques ont été effectuées sur les TCA et il en ressort deux pistes intéressantes :
• Une protéine « sosie » de l’hormone de satiété (la mélanotropine) serait fabriquée par certaines bactéries comme l’Escherichia coli et déréglerait les informations envoyées au cerveau (autant dans un sens anorexique que boulimique, selon les sujets).
• Certaines anomalies génétiques de neurotransmission du système sérotoninergique et du circuit dopaminergique ont été relevées, ce qui revient également à troubler les informations concernant la satiété.


(1) Le corps insoumis, Maurice Corcos, éd. Dunod, 2011.
(2) Un artiste de la faim, Franz Kafka, éd. Folio, 1990.

À
propos

auteur

  • Mélanie Chereau

    Journaliste et rédactrice en chef adjointe d'Inexploré magazine
    Melanie Chereau est journaliste et auteur de plusieurs ouvrages. Ses thèmes de prédilection sont la spiritualité, la naturopathie et les médecines douces. Elle pratique le bouddhisme depuis plus de 17 ans, est formée en Reiki et en aromathérapie. ...
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