L’inconscient s’est vu donner mille appellations selon les approches et les domaines de recherche. Emmanuel de Careil a décidé avec humour de lui donner un visage et un nom, Alfred. Rencontre avec un inconnu bienveillant travaillant discrètement en chacun de nous.
Santé corps-esprit
Arnaud Rascouailles (flickr)
Certains l’appellent « hasard », d’autres « subconscient » ou encore « conscience » ou même « puissance de pensée ». J’ai nommé cette intelligence paranormale, ALFRED, pour l’humaniser un peu et le rendre proche, comme un « ami qui nous veut du bien ».
Mais où se trouve ALFRED ?
En fait, il fait partie de nous, et nous ne faisons qu’un avec lui. Nous sommes lui et lui… c’est nous. Il est indissociable de notre corps et de notre esprit puisqu’il est à la fois notre corps et notre esprit.
Un peu complexe à comprendre mais je vais développer !
Cette puissance phénoménale qui est en nous est, peut-être, ce que certains nomment « ange gardien », car ses possibilités sont infinies, et elle est capable de réaliser ce que l’on désire, même les rêves les plus fous, qu’ils soient bons ou mauvais. Et c’est là que se trouve un certain danger !
D’où mon insistance à toujours agir avec humilité afin de laisser Alfred choisir ce qui est mieux pour nous.
Je l’ai donc nommé Alfred car c’est effectivement un :
Assistant (permanent et fidèle),
Luminescent (car lumineux dans tous les sens du terme)
De Formation (capable de tout expliquer)
De Recherche (source de connaissance inépuisable)
Et d’ Enseignement
Didactique (merveilleux professeur pour qui veut apprendre).
Cet assistant formidable est caché dans un de nos recoins et ne demande qu’à être sollicité pour fonctionner. Il est fréquent de faire appel à lui sans le savoir et c’est pour cette raison que nous sommes quelquefois surpris des coïncidences ou des hasards de la vie.
En effet, il peut tout à fait fonctionner sans nous demander notre avis puisqu’il est notre subconscient. (Les informaticiens et les geeks diront « en tâche de fond ».) Encore faut-il connaître son mode d’emploi et ses paramètres pour s’en servir à volonté pour notre bien-être personnel et essayer de le contrôler afin d’éviter de commettre des erreurs qui pourraient nous sembler être du ressort de la fatalité.
En réalité, Il n’y a pas de fatalité dans notre vie de tous les jours, mais seulement une mauvaise maîtrise d’Alfred, qui a toujours tendance à prendre nos désirs pour des réalités.
Pour exemple, il suffit de se convaincre de quelque chose pour que celui-ci entre en action !
Le matin au réveil, si vous êtes convaincu que la journée sera mauvaise, Alfred fera bien évidemment le nécessaire pour qu’elle le soit. Plus vous le constaterez, plus vous en serez convaincu et plus il fera en sorte que votre journée soit pourrie.
De même, si vous avez l’impression d’être malade et que vous le croyez, il est clair que votre serviteur va s’occuper de vous avec ardeur.
Donc je vous donne déjà une astuce : soyez plutôt convaincu que vous êtes capable de guérir… C’est une évidence !
Ainsi, il réalisera votre désir qui est au plus profond de vous, c’est à dire que vous soyez bien portant.
Suivant votre cas, demandez à Alfred de trouver le médecin qui vous convient le mieux et laissez vous guider.
Votre subconscient sera là pour vous aider à guérir plus vite si vous savez le lui demander, et c’est exactement ce que je me propose de vous apprendre.
Les êtres humains en général, plus particulièrement les croyants, ont toujours tendance à cataloguer les faits qui les surprennent comme venant de Dieu.
Je n’ai rien contre Dieu, et je pense qu’il existe, mais ces faits là n’ont strictement rien à voir avec lui, pas plus qu’il n’envoie des épreuves à certains d’entre nous.
Je ne vois pas pourquoi Dieu ferait du bien à certains et du mal à d’autres, de même je ne suis pas d’accord avec le fait que Dieu aiderait les croyants et laisserait pour compte les athées.
Non, Dieu n’intervient en rien dans notre vie de tous les jours, et c’est nous, et seulement nous, qui déterminons notre sort.
Quand je vois que les Américains osent prier Dieu avant de partir faire la guerre en Irak, cela m’interpelle un peu.
En effet, je ne vois pas pourquoi Dieu aiderait plus les Américains que les Irakiens.
En vertu de quoi Dieu choisirait-il un clan plutôt qu’un autre ? C’est bien la preuve que Dieu n’intervient pas dans notre vie.
Pendant la dernière guerre mondiale, les Français priaient Dieu. Mais il se trouve que de leur côté, les Allemands priaient aussi. Si Dieu s’occupait vraiment de nous, vous ne pensez pas qu’il serait intervenu avant la guerre ?
Cela dérange bien les idées reçues, et c’est pour cette raison que les pratiquants disent que « Dieu est en chacun de nous » (voir les Evangiles). On entend dire aussi que « Dieu est partout, qu’il voit tout et entend tout », enfin bref, on le met à toutes les sauces, et cela arrange bien tout le monde.
En un mot, je pense très sincèrement que, dans bien des cas on confond Dieu avec notre subconscient (Alfred) qui possède toutes les qualités requises pour répondre à nos désirs, influencer notre pensée et répondre à nos attentes conscientes et inconscientes…
D’ailleurs, je vais vous le démontrer dans ce livre…
Alors, pour mieux comprendre comment fonctionne le subconscient , et surtout, pour arriver à l’utiliser plus facilement, je trouve qu’il est plus pratique de le considérer comme un copain fidèle et dévoué, à qui l’on peut tout demander, et à qui l’on peut faire entièrement confiance.
Amis lecteurs, je vous présente Alfred.
(…)
Il y a des personnes à qui l’on reconnaît volontiers la possession de certaines facultés qui sortent un peu de l’ordinaire et que l’on a pour habitude d’appeler « dons ».
En réalité, il existe deux cas de figure. Il y a des gens qui naissent avec cette faculté hors du commun et d’autres qui la découvrent plus tard.
Dans les deux cas, ces personnes ont appris à faire fonctionner un logiciel et s’en servent, dans un premier temps, sans trop savoir comment elles ont fait.
Au départ, c’est par hasard qu’une personne découvre ce don, soit suite à une émotion violente, soit en réaction incontrôlée face à une situation qui sortait de l’ordinaire ; puis, après cette découverte, elle a essayé de recommencer volontairement l’expérience et c’est ainsi qu’elle a réussi à renouveler le résultat à volonté.
Elle a connecté le logiciel et, depuis, il fonctionne sans problème. En réalité, cette personne a fait volontairement appel un jour à Alfred qui, en bon serviteur fidèle, à fait la connexion demandée.
Vous remarquerez que ces choses là qui nous étonnent un peu, arrivent toujours par hasard. Et pour cause… ALFRED ne se met en marche qu’à certaines conditions, dont je vous ferai un exposé un peu plus loin.
Mais, pour l’instant, je vous propose de continuer à progresser doucement, et surtout, à bien assimiler tout ce que je dis, quitte à reprendre la lecture plus haut si la digestion est difficile…
Cet ordinateur qu’est votre cerveau a pour habitude d’enregistrer sur le disque dur approprié tout ce qui vous passe par la tête tout au long de la journée. Il range tout ça dans un coin et, la nuit, quand vous dormez, il classe les éléments par type d’information en fonction de la provenance (yeux, odorat, toucher, réflexion, émotion, etc.)
Il va archiver toutes ces données dans une grosse bibliothèque qui s’appelle mémoire, et il vous les ressortira le jour où vous en aurez besoin. Même la plus insignifiante des informations est rangée là !
Le logiciel spécifique Alfred sait où tout se trouve, car il est en liaison permanente avec cette bibliothèque. C’est en quelque sorte votre moteur de recherche personnel, votre Interne-Être-Explorer.
Alors si vous voulez retrouver une information que vous connaissez, mais qui ne vous revient pas à l’esprit immédiatement, cela ne sert à rien de vous crisper et de continuer à chercher car vous bloquez Alfred.
Je vais vous donner un petit conseil à la fois simple et super efficace : détendez-vous, pensez à autre chose et, comme Alfred sait que vous voulez retrouver cette information, il vous la communiquera dès que vous ne ferez plus une fixation dessus.
Lors d’examens, les étudiants vous diront souvent qu’ils ont « séché » sur une question et que la réponse leur est venue une fois sortis de la salle de cours. C’est un exemple flagrant !
Dites vous bien une chose : ALFRED sait ! Encore faut-il le laisser faire.
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