En quoi tient la magie du langage des animaux ? Marie-Louise Vidal de Fonseca donne son point de vue dans son livre « Communication subtile avec les animaux » : c’est une forme de communication par la pensée, à laquelle nous pouvons (ré)apprendre à nous connecter.
Perceptions
A l’aurore du monde, toutes les créatures devaient avoir, je pense, les mêmes perceptions subtiles et des communications très développées par la pensée, bien que de niveaux différents. Cette faculté d’échange sensoriel s’est dégradée au fil du temps pour l’homme avec les progrès et la modernité qui l’ont, peu à peu, éloigné de la nature à trop vouloir la dominer.
Pourtant, chacun de nous la possède encore au fond de lui à l’état pur, prête à se développer selon... sa générosité de cœur, son approche positive, sa spiritualité, son intelligence et les circonstances de la vie.
C’est pourquoi, par les enfants et les amis des bêtes, elle s’épanouit spontanément. Par contre, chez les animaux, cette faculté a résisté aux siècles comme aux difficultés de l’existence.
Cette « communication spéciale » n’a jamais cessé de m’émerveiller. Je l’ai toujours eue, avec toutes les espèces animales que j’ai rencontrées depuis mon enfance, aussi s’est-elle développée en harmonie. Elle m’a aidée à vivre. Ce livre est donc une sorte de bilan auquel je tiens particulièrement. (...)
Un jour, la science découvrira le secret de ce phénomène sur lequel on se pose tant de questions. Aurait-on jadis imaginé qu’on pourrait entendre la musique et voir l’image à distance ? Ce que nous trouvons naturel, comme le téléphone, le portable, l’avion, la fusée interplanétaire, etc., était inimaginable au Moyen-Age et plus près de nous encore.
S’agit-il d’une sorte d’électricité spirituelle, d’une énergie émotionnelle ou cosmique ? D’une émanation de l’âme à un rythme spécial ? Le courant qui passe entre les bêtes existe bien, sans que l’on puisse le définir ou l’analyser. C’est pourquoi certains ont préféré le nier. (...)
Cependant ces échanges, utiles en maintes circonstances, sont plus difficiles à admettre par l’homme quand il s’agit des animaux et même des plantes. Ces dernières sont pourtant également concernées, d’après les chercheurs Schroeder et Ostrander. Elles nous transmettent des énergies bénéfiques, des informations intéressantes, des messages de détresse. Il y a des années, la Pravda, en Union Soviétique, l’avait signalé.
Parfois, en circulant ici, dans ma maison, j’entends une voix dans ma tête : « Soif ! », dit-elle. Madre de Dios ! J’ai oublié d’arroser mes géraniums, rentrés dans la maison chaque hiver depuis des années. Ces plantes, plus je leur témoigne de l’affection, plus elles sont belles. Il ne faut pourtant pas confondre télépathie et magnétisme, qui s’harmonisent pour le bien : la première fait passer le message, le second fortifie le récepteur. Avoir la main verte, par exemple, c’est dispenser une affection agissante. Les plantes qui n’en bénéficient pas languissent et parfois meurent, car elles ont autant besoin de ce soutien affectif que d’eau. Cet accord est valable pour celui qui s’est attaché à son jardin, à son champ, à ses pommiers, etc. (...)
Il est évident (que les animaux) captent nos pensées, nos intentions, bonnes ou mauvaises, qu’ils nous évaluent pour éviter les pièges au maximum comme de s’assurer de la confiance qu’ils peuvent avoir en nous, sauf quand notre hypocrisie les attire dans des traquenards qui les dépassent pour les capturer, les tuer.
En dehors du fait que leur pensée a de grandes possibilités pour déchiffrer ce qui se passe dans la nôtre – on en a des quantités de preuves en voyant leurs réactions -, ils perçoivent, à n’en pas douter, les ondes positives ou négatives qui émanent de nous. (...)
Les animaux ont su garder intacts leurs sens innés : lecture du ciel diurne et nocturne, orientation par rapport au Soleil comme aux étoiles, perception des infrasons et des ultrasons, des vibrations de la Terre, de l’air et de l’eau qui servent à éviter le pire ! Et naturellement, ce sixième sens qui nous intrigue tant !
Le tsunami qui a ravagé l’Asie récemment nous a prouvé, une fois de plus, de quoi les animaux sont capables. La plupart d’entre eux ont disparu avant le cataclysme, le déchaînement des flots, depuis les éléphants jusqu’aux poissons. Ah, si les populations avaient réagi immédiatement !
Cette perception extraordinaire des éléments, ils la possèdent depuis toujours devant le déchaînement des forces naturelles : séismes, inondations, ouragans, etc. Un exemple relativement récent parmi tant d’autres : le 8 mai 1972, à la Martinique, l’éruption du volcan la Soufrière, qui causa 30 000 morts. Que ne se sont-ils pas fiés aux bêtes qui ont fui à temps. Jadis, les marins ne se préparaient-ils pas au désastre quand les rats quittaient le navire ?
On s’est aperçu que tous les animaux, du plus petit au plus grand, du plus sauvage au plus familier, étaient capables de donner l’alarme : les fourmis, les abeilles, les serpents, les oiseaux, les cochons, les chiens, les ours, les éléphants, etc. S’ils ressentent les séismes par les vibrations du sol sous leurs pattes, toutes les informations ne passent pas par ce canal. Pour les oiseaux, ce sont celles de l’air, pour les poissons, celles de l’eau, donc de leur milieu naturel, qui transmettent le signal par exemple. Les possibilités de l’animal sont soutenues, activées, harmonisées par cette force psychique que l’on ne peut encore définir, mais que l’on est obligé de constater et à laquelle les scientifiques comme les vétérinaires rendent hommage.
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Développant sans cesse la communication virtuelle,
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de la nature. Celle-ci a pourtant tellement à nous apprendre.
Pratique universelle, la prière se vit différemment selon les traditions et cultures. Face à cette diversité, plusieurs experts et pratiquants témoignent de l'efficacité de ce vecteur atemporel d'intentions salvatrices.
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Face aux événements bouleversant nos représentations à grande vitesse, nous avons besoin de davantage de flexibilité, de développer de nouvelles ressources et capacités. Pour nous réinventer et créer des modèles de société innovants,
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Françoise Nallet, dans l’ouvrage Manuel d’autolibération des mémoires cellulaires, propose un panorama complet de sa méthode. Ce livre, publié aux éditions Trédaniel, est organisé en séquences : le lecteur est invité à pratiquer lui-même différents exercices de déprogrammation. Dans cet ...
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