Ce n’est un secret pour personne : si nos sociétés continuent à vivre repliées derrière les œillères de l’indifférence et de l’inconséquence, l’humanité court à sa perte. Pour sortir de l’impasse, de plus en plus de gens prônent le retour à plus de compassion.
La compassion ? Il suffit de la pratiquer, en traitant l’autre avec la bienveillance, l’écoute, et le respect dont on aimerait soi-même bénéficier, pour comprendre qu’elle n’est pas un sentiment gentillet, ni même un devoir moral, mais une force révolutionnaire de transformation. Pour soi, pour le monde.
Car au-delà de la prise de conscience, la compassion trouve tout son sens dans l’action. Rien ne sert de diagnostiquer la souffrance si on ne cherche pas à la soulager ! Nous sommes tous concernés, nous avons tous à y gagner. Alors que faisons-nous, chacun à notre niveau, pour changer la donne ?

Le 23 avril, c’est la Journée de la compassion. Approprions-nous la, faisons-en un tremplin, un étendard. Lisons la Charte de la compassion, signons-la. Puis imaginons : que pourrions-nous mettre en œuvre dans nos vies personnelles, sociales et professionnelles, pour lui donner plus de place ? Comment pourrions-nous la cultiver davantage auprès de nos proches, nos collaborateurs, nos voisins, les gens de notre quartier, les associations citoyennes ou d’aide aux plus défavorisés ? Que pourrions-nous modifier dans nos habitudes et nos attitudes pour favoriser l’équité, le respect et la solidarité ?

Chaque mot, chaque geste compte. Dans le cadre du 23 avril et au-delà, partageons nos initiatives et nos idées sur les réseaux sociaux, proposons, participons, témoignons de ce que nous faisons, de ce que nous souhaitons faire, pour développer concrètement la compassion ! Tous ensemble, en action.

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